Témoignages

表現

Françoise 55 ans

Juillet 2011. Je suis en plein deuil de mes deux parents et je viens de terminer un stage de yoga qui a eu pour effet de faire émerger une immense détresse que je ne sais comment apaiser. Une amie me conseille d’aller faire une séance de shiatsu sensée détendre les tensions émotionnelles et corporelles. Je ne connais ni cette pratique ni le praticien et je ne suis jamais allée me faire masser.

Il y a rapidement une « connexion » avec le praticien qui s’établit par le toucher, par la recherche commune des points du corps en tension. Par des pressions assez fortes, le corps se détend progressivement et le physique ainsi que le mental s’apaisent. La parole se libère car on se sent en confiance et prise en compte dans sa globalité. J’exprime en quelques phrases ce qui me fait souffrir moralement. J’ai le sentiment d’être écoutée et comprise, comme pour le corps. Je reçois cette fois ci quelques conseils succincts, de petits exercices mentaux à pratiquer pour atténuer ma tristesse. Ils m’ont permis de franchir un cap difficile.

Après cette première séance, je suis retournée plusieurs fois faire des séances de shiatsu, principalement pour des douleurs physiques ;

Pour la sciatique, lors de crise aiguë, une ou deux séances m’ont permis d’atténuer la douleur et de retrouver une mobilité normale.

Le plus spectaculaire a été la disparition totale d’une grosse tendinite au bras droit en une seule et longue séance. J’avais au préalable consulté mon généraliste qui m’avait prescrit attelle, patch anti douleur et plusieurs mois de convalescence.

A chaque fois une détente du corps et un lâcher prise émotionnel.

Le shiatsu n’est pas un simple massage. Il a une dimension particulière ; une connexion physique et mentale du thérapeute vers son patient par le toucher et l’écoute comme en résonance. Cela demande des qualités particulières d’âmes et d’empathie.

Merci à toi Guy.

JOHN 50 ans

Dans mon français limité, je vais tâcher de répondre: 

Quoi qu’en bonne santé et assez sportif, j’ai longtemps souffert d’un mal de dos relativement chronique. Moi-même médecin, je suis allé, au fur et à mesure des années, vois plusieurs types de médecin allopathique: orthopédiste, médecin du sport, et interniste. Quoi que, ayant un squelette doté de quelques petites imperfections, ils n’ont rien trouvé pouvant expliquer ce niveau de tension et de douleur dont je souffre. 

Faisant par ailleurs de la méditation depuis 25 ans, j’ai un esprit plutôt calme, à mon avis ces conditions de tension sont lié à une musculature raide commune à l’ensemble des membres de ma famille. 

J’ai donc ensuite essayé des massages traditionnelles, de l’acupuncture et du Pilâtes. Bien que ce dernier m’aide à rééquilibrer mon corps à long-terme, ce n’est que par le shiatsu que j’ai un soulagement efficace de mes tensions musculaires, qui dure plusieurs journées. 

Je considère donc le shiatsu comme une discipline de vie saine, pour moi, comme le sport ou ne pas trop abuser de la nourriture ou d’alcool. Il me permet d’être moins tendu et plus « libre » physiquement, surtout si je le fais de façon régulière. 

Voilà, amitiés,

John

Gabriel 43 ans

Juste un mot pour te dire que je n’ai plus Du tout mal à la vésicule ! J’ai confiance en toi, mais j’avais un peu peur que les manipulations ne réveillent cette maudite vésicule. Au contraire, tel un toréador tu as maté la bête et su la faire taire. Bravo donc ! 

À bientôt

Gabriel

Lydie 50 ans

Je suis venue au Shiatsu suite à un grave accident, et ayant perdu l’usage de l’équilibre, des couleurs, des distances, et de la parole, contrainte, j’ai suivi durant plus d’une année des examens neurologiques.

Scanners, IRM, Ponctions Lombaires, médoc…etc.

A l’époque, je faisais intensément de la natation et de la musculation. C’est mon entraîneur qui, voyait mon état se dégrader, vint me trouver pour me chuchoter (comme s’il me proposait quelque chose d’interdit…)

– tu n’as rien à perdre, vu les résultats… j’ai pratiqué 9 ans au Japon, le sh…. . Là-bas c’est légal, c’est une médecine très ancienne… ».

Je n’avais pas compris le mot qu’il prononçait, juste que c’était sans aiguilles.

J’ai accepté.

Il s’occupa juste de la tête et du cou. Durant 3 séances d’environ 5 minutes.

Et il y eut ce qui fut pour moi LE miracle…

Tout redevint normal.

Inutile de vous dire que je fus étonnée du résultat DURABLE.

Pour être sensible au, « le Shiatsu », il faut, faisant beaucoup de sport, savoir écouter son corps, qui vous alertes parfois d’un mal infimes qui débute.

Ensuite, pratiquant un Art Martial, je sais que notre corps est une machine à la fois forte et fragile. C’est un bien unique, précieux qu’il faut protéger. Le shiatsu y contribue, par la connaissance parfaite de cette mécanique corporelle, il nous aide à faire le lien entre le corps et le mental, un nerf coincé ici et c’est plus haut que cela va mal.

Une mauvaise respiration et se sont toutes les cellules qui sont mal oxygénées donc cumulation des toxines….

Il faut être un Maître de la connaissance du corps et de son fonctionnement pour que le patient obtienne des résultats immédiats et durables.

Le Shiatsu commence à se répandre, à quand sa reconnaissance par les instances légales de cet Art millénaire, non violent pour le corps et naturel ?

Je regrette qu’en dehors de Paris, ou d’autres grandes villes, il y a si peu de pratiquants.

Lydie A.

Michel 79 ans

J’ai 79 ans et j’ai séjourné au Japon ( Tokyo ) pour raisons professionnelles entre 1991 et 1999 . A mon retour en France où j’ai pris ma retraite J’y suis ensuite retourné tous les 2 ans jusqu’en 2009.

Mon épouse qui avait la nostalgie de ce pays est décédée en 2015 et nous a demandé à ma fille et moi d’y retourner en 2016 pour revoir les endroits

où nous avions vécu et que nous avions aimés.

J’ai réservé les billets d’avion et d’hôtel en janvier 2016 pour un voyage de 15 jours à Tokyo première quinzaine de mai.

Mi-mars j’ai commencé à avoir des douleurs dans le bas du dos et la marche me faisait souffrir.

Mon médecin traitant, après radio, diagnostiqua une arthrose lombaire et me prescrivit un traitement anti inflammatoire ainsi que des séances

chez un médecin ostéopathe.

J’en fis en un mois une dizaine sans grand résultat.

Fin avril, je ne m’estimais pas en état de partir, mais tout étant réservé et ne voulant pas décevoir ma fille je pris quand même l’avion le 29 avril.

A mon arrivée à Tokyo le 30 avril matin, après 13 heures d’avion, je souffrais beaucoup, j’avais des difficultés à marcher et j’envisageais alors un retour prématuré.

Je m’en voulais d’être parti dans cet état et de gâcher le voyage de ma fille.

Je demandais à l’hôtel l’adresse d’un salon de massage sachant que les Japonais avaient des connaissances dans ce domaine mais ceci était vague dans mon esprit car pendant mon séjour au Japon, je n’avais jamais été malade.

Je me retrouvais l’après-midi dans un salon pratiquant le Shiatsu.

Il y avait 6 boxes séparés et les masseurs se relayaient 7 jours sur 7.

La clientèle était exclusivement japonaise et la communication limitée car les masseurs ne parlaient que japonais.

Après examen de mes radios que j’avais emmenés, je m’allongeais sur la table de massage et le masseur commença un massage Shiatsu.

C’était rude et les pressions exercées sur la colonne vertébrale très douloureuses.

Je m’attendais à un massage classique et sur le coup je fus très surpris de la technique utilisée.

Au début j’avais mal et Je ne notais pas d’amélioration immédiate mais après la deuxième séance ma douleur avait presque disparu et je marchais à nouveau sans difficultés.

Durant ces 15 jours je fis 5 séances (c’était sans doute trop mais je n’avais pas idée à l’époque des fréquences et j’avais peur de rechuter )

Le résultat est que je pouvais à nouveau marcher normalement et j’ai ainsi pu revoir tous les endroits que nous avions fréquentés durant notre séjour.

A mon retour à Paris je revis mon médecin traitant qui à l’énoncé de mon récit eut une moue sceptique.

Bien que relativement jeune elle n’avait aucune idée de ce qu’était le Shiatsu

Dans son esprit mon arthrose est une maladie courante chez les personnes âgées et pour calmer la douleur, il suffit de prendre un antalgique.

Je cherchais donc sur internet s’il y avait dans mon environnement parisien, quelqu’un qui pratiquait cette technique, c’est comme cela que je suis entré en contact avec Mr Guy Van Huyen.

Valérie la cinquantaine

La pratique du shiatsu remonte déjà à quelques années pour moi (vers le milieu des années 2000).

Au départ, j’étais principalement en recherche d’un moment de détente, d’une pause dans le rythme effréné d’une mère de famille en activité professionnelle.

Je n’ai pas commencé directement par le shiatsu dont le nom me semblait un peu mystérieux voire suspect.

Une de mes collègues m’avait recommandé un professionnel des techniques de massages asiatiques qui s’était installé dans un petit appartement depuis peu.

Comme elle l’avait déjà testé à plusieurs reprises et qu’à chaque fois elle en revenait très détendue, je me suis laissée tenter…. et j’ai très rapidement était convaincu

 

J’ai essayé différentes techniques originaires de différents pays (thaï, indienne, chinoise…), celle avec laquelle je ressentais le plus de détente était toujours le shiatsu.

Le centre, quelques années après a déménagé pour s’installer dans un très beau local au cœur de Paris, près des grands magasins… les tarifs ont augmenté en conséquence et la qualité des massages est devenue très inégale.

Le maître est devenu un businessman!

 

Je ne retrouvai plus la détente de façon aussi profonde.

 

J’ai recherché un nouveau praticien. J’en ai essayé plusieurs sans conviction.

Jusqu’au jour où j’ai rencontré une praticienne affiliée à la fédération française de shiatsu qui m’a parlé de sa façon de travailler sur le corps et sur “l’esprit” mais sans tomber dans le chamanisme.

Malheureusement, elle n’était pas parisienne.

J’ai consulté le site de la fédération et ai trouvé les coordonnées de Guy.

 

Dès la première séance, j’ai ressenti quelque chose de différent de toutes mes autres expériences.

J’avais pris rendez-vous parce que je me sentais tendue et très fatiguée. Je croyais avoir juste besoin d’un peu de bien-être.

Les premiers mots m’ont d’abord fait sourire : “la chose la plus importante est de penser à respirer. Pour cela n’hésitez pas à coller des post-it partout pour y penser”.

Comment une chose aussi basique pouvait-elle nécessiter un pense-bête ?

Je me suis vite aperçue que ce n’était pas aussi évident et que j’avais souvent tendance à oublier de respirer !

 

A la fin de la séance, j’ai ressenti bien plus que de la détente… j’étais également plus sereine.

Comme si, pendant cette heure de prise en main j’avais retrouvé une sensation de totale protection et de total abandon de mon corps, tel un enfant dans les bras de sa mère.

 

Les premières séances furent un peu douloureuses car les tensions musculaires étaient bien présentes. Au fil des séances, ces tensions ont disparu ou se sont très fortement amoindries.

La première année, j’ai espacé mes séances d’un à deux mois et je suis venue principalement sur la période hivernale.

L’année suivante, je suis passée à un rythme d’une séance toutes les trois semaines pratiquement toute l’année et j’ai passé une année avec beaucoup moins de fatigue.

Après chaque séance, je suis complètement reposée comme si j’avais fait une cure de sommeil d’une semaine, et je suis en même temps regonflée comme si j’avais avalé la potion de Panoramix.

Désormais, je n’ai plus de douleurs dans le dos et j’ai constaté une amélioration de la gêne liée à mes problèmes circulatoires (j’ai abandonné les chaussettes et collants de contention).

Je ne sais pas si le lien est direct. Ce qui est sûr, c’est que je suis convaincue des bienfaits de cette pratique sur l’état psychique et nerveux. Il est donc fort probable que cela ait également des répercussions sur l’état général du corps.

 

Le shiatsu a pour moi des vertus de régulateur de l’équilibre de l’humain.

Maintenant, je RESPIRE !

 

 Mon récit est un peu long mais il me semblait la meilleure façon pour illustrer mon cheminement.

VERONIQUE 50 ans

Bonsoir ,  qu’il est difficile d’ écrire ….un  remerciement  venant du plus profond de soi-même…surtout lorsqu’il s’agit d’un moment passé  tellement incroyable pour ‘moi’  que j’ai encore du mal à croire que c’est réel…..sauf que je pleure pendant que j’écris!!!!MERCI!  (Véronique .S.)

Annette 66 ans

J’ai reçu ma première séance de Shiatsu, par Guy, il y a juste un an, le 17/11/2015. Je garde encore le souvenir de cette séance si bénéfique, de la légèreté, du bien-être et de l’équilibre retrouvé. J’ai marché longtemps pour apprécier ces sensations.

Je ne connaissais rien au Shiatsu. Je me suis laissé toucher, en confiance, en silence, la plupart du temps du massage, en sentant une présence très forte et bienveillante qui « me prenait en charge ». C’était à la fois étrange et agréable avec néanmoins bien sûr la rencontre avec des points très douloureux qui n’étaient pas ceux auxquels j’étais habituée.

Je ne connaissais rien au Shiatsu, mais j’en avais entendu parler, un peu. Je sortais d’une expérience douloureuse de 2 ans de psychothérapie psychosomatique psychanalytique et voulais essayer une thérapie corporelle.

Je ne renie absolument pas le travail psychothérapeutique par la parole. Je l’ai pratiqué pendant longtemps pour me soigner et j’ai vaincu, de cette façon, des maux très douloureux comme les crises de migraine invalidantes. Je suis moi-même psychothérapeute psychanalytique ! Toute thérapie, il me semble, au-delà des différentes techniques, repose sur la présence, l’empathie, l’écoute attentive du thérapeute.

Par ailleurs, à cette période, mon corps n’était que douleurs : on m’a diagnostiqué alors une pseudo polyarthrite rhizomélique. J’ai été traitée pendant plusieurs mois à la cortisone.

J’ai poursuivi ces séances de Shiatsu tous les 15 jours jusqu’à l’été. Elles m’ont aidée à retrouver mon équilibre, mon énergie, mon calme. (Je ne serai jamais très calme…) Elles ont rythmé « mon combat » contre la maladie.

Je me suis mise au yoga aussi depuis 2 ans. Pour moi, ces 2 pratiques sont complémentaires. Je m’occupe enfin de ma respiration, je découvre enfin que j’ai un ventre, enfin que j’ai un dos et qu’ils sont fondamentaux et essentiels eux aussi à mon équilibre psychique !

Je continue actuellement les séances de Shiatsu, une fois par mois. Je sais qu’elles contribuent à me maintenir en bonne santé. Je sais que selon les périodes, je suis plus ou moins réceptive mais le bien être à la fin de la séance est toujours là.

Actuellement, j’ai envie d’aborder de plus près les concepts du Shiatsu.

J’ai eu la chance de rencontrer Guy et le remercie très vivement de toute l’attention qu’il sait me porter.

Annette

Bernard 80 ans

Je traînais une bronchite dont je ne parvenais pas, comme trop souvent, à me débarrasser. Ma femme, Catherine, a dû en parler à son amie Françoise qui lui a dit de me conseiller de venir vous voir. Je ne me souviens pas si elle lui a parlé alors de shiatsu. Je vous ai alors téléphoné pour prendre rendez-vous, mi- sceptique, mi-curieux, ayant quand même un vague curiosité pour les techniques orientales de soin.

La séance s’est déroulée sans incident. J’ai été un peu surpris bien sûr par les manipulations, mais pas outre mesure. Je ne me souviens pas avoir ressenti quelque chose de particulier. Par contre, j’ai été surpris, stupéfait même, au moment où je sortais de l’immeuble dans la rue, donc quelques minutes après la séance, de ressentir un soulagement complet : plus d’oppression respiratoire, une libération complète et … soudaine. Et cette libération des poumons s’est poursuivie, à mon étonnement, dans les minutes, les heures et les jours qui ont suivi.

Six mois ou un an plus tard, je suis revenu pour la même cause, cette fois sans résultat notable. Hélas !

Je reste étonné, admiratif et reconnaissant, même si je ne le comprends pas et s’il ne fut pas suivi, du résultat de la première séance. Mais il m’est impossible de porter un jugement global sur le shiatsu, qu’en outre, je connais trop mal. La seule certitude est que ça existe et que, dans certaines circonstances au moins, il y a des résultats tangibles.

JULIE 26 ans

Avant de connaître Guy, je pensais, comme beaucoup, que le shiatsu était un art martial, un peu comme le Taï Chi. 

C’est ma thérapeute qui m’a parlé un jour de Guy et de « ses mains », et j’ai donc pris RDV. 

Elle m’avait expliqué que c’était un peu comme de l’acupuncture avec les doigts qui remplaçaient les aiguilles. 

Je suis venue au shiatsu à cause de mes crises d’angoisses violentes et profondes qui me rongent par moments depuis quelques années. Je cherchais des moyens de m’apaiser autrement que par des médicaments chimiques et je croyais et crois encore fermement en les vertus de la médecine orientale. Je cherchais dans le shiatsu un moment de détente pour mon corps et mon esprit, une ère de lâcher prise. 

La pratique m’a effectivement étonnée, étant donné que je ne connaissais absolument pas ni l’acupuncture ni le shiatsu. J’ai adoré la manière dont a Guy de toucher et de presser les points d’acupuncture sur le corps, et cela m’a énormément aidé à m’apaiser. Je sortais des séances complètement relaxée et détendue, comme après un long massage ou deux heures de nage. Je me sentais dans du coton et je sentais que mon corps me disait merci. 

Le résultat est donc que si j’avais les moyens, j’irai chaque semaine rendre visite à Guy, cela m’a aidé également à mieux connaître mon corps et ma manière de vivre avec lui. 

Le shiatsu m’a permis de découvrir une autre manière d’envisager son corps, mais également une autre vision du monde, et des maux qui pouvaient habiter les humains. Il m’a permis d’enrichir ma connaissance sur moi-même et sur les autres. Comme j’ai du mal à dissocier le shiatsu de son praticien, Guy, je dirais que cette rencontre reste marquée à jamais dans mon cœur. Le cabinet de Guy est pour moi un refuge apaisant et enrichissant. 

Je considère le shiatsu comme un art du toucher et de communiquer avec l’autre à travers les énergies du monde. C’est pour moi une technique complexe et également une philosophie du corps et de l’esprit. 

FRANCOISE 55 ans

Voilà plusieurs années maintenant, j’ai subi une opération qui s’est avérée désastreuse et m’a laissé sans force (ablation du colon). Il m’était très difficile même de me lever tellement j’étais fatiguée. Après être rentrée chez moi (l’hospitalisation de suivi ayant échoué à me redonner de l’élan vital), j’ai pu faire un peu de yoga, ce qui m’a soulagée. Mais je n’arrivais toujours pas à surmonter ce mauvais passage et je me demandais bien ce que j’allais pouvoir faire pour me renforcer.

Internet existait déjà : j’ai commencé une recherche sur le shiatsu. Un matin où, une fois encore, je déclinais, j’ai téléphoné au thérapeute dont j’avais vu le site et qui pouvait se déplacer.

Je dois dire que le résultat a été immédiat. Mon corps commençait à se reposer (ma tête également) et j’ai senti l’énergie revenir. J’ai continué dans ce sens plusieurs fois. Aujourd’hui, je peux sortir et avoir des activités variées et le quotidien m’est beaucoup plus facile même si je suis encore tributaire de nombreuses hospitalisations.

Le shiatsu m’a recentrée et m’a redonné confiance. J’ai pu entrevoir une compréhension de mon être car le shiatsu n’est pas seulement une approche confortable d’un mieux superficiel (même si on peut s’arrêter à ce premier degré) c’est aussi et surtout, en ce qui me concerne, une réelle connaissance de soi. Il peut être un élément positif dans une perspective de méditation, qi gong, do in, etc…

Kristel 32 ans

Etant en début de grossesse. Les massages shiatsu étaient recommandés par l’hôpital franco-britannique.

J’étais venue pour préparer ma grossesse et alléger les maux qui auraient pu survenir.

Ayant l’habitude des massages thaï, je trouvais le shiatsu différent et plus doux (lorsque tout va bien!).

Je suis persuadée que le shiatsu a contribué à me garder en bonne santé pendant la grossesse et que le travail effectué à garder mes membres, dos …etc, alignés lors des grands changements morphologiques.

PATRICIA 56 ans

J’ai mis plus de temps que je ne pensais à analyser mon ressenti shiatsu donc je décide de vous envoyer ces éléments sans les mettre vraiment en ordre.

Pour moi une séance de shiatsu  se rapproche d’une séance de yoga où le corps libère ses tensions dans la respiration et les étirements.

En ce qui concerne mon expérience dans votre cabinet, la première  sensation est une « sensation plaisir » –   les huiles essentielles qui titillent l’odorat à l’arrivée et qui d’emblée apaisent et  nettoient  le mental.

Puis c’est le plaisir d’immobiliser le corps « habillé » l’importance du textile que l’on garde un peu comme un voile protecteur qui va s’intégrer au massage.

Le corps  trouve sa place allongée et  il est  alors possible de faire une rapide prise de conscience des tensions qui affleurent ou pas.

Ensuite une respiration adéquate se met en place ainsi qu’une concentration légère qui glisse sur chaque partie du corps qui reçoit les pressions.

La  sensation de bien-être du corps « rassemblé » se développe au fil de la séance qui passe  très vite – je finis toujours étonnée que ce soit « déjà fini «  ! Je m’aperçois aussi   que je suis toujours de bonne humeur à la fin d’une séance.

Je suis venue vous  voir grâce à une amie juste après l’annonce du cancer de mon mari il y a deux ans et demi.

J’ai trouvé dès le premier rv un soutien bienveillant dans l’espace accueillant de votre cabinet.

Le shiatsu a été l’un des outils qui m’a aidée à prendre un peu de recul  par rapport à la douleur que nous vivions avec mon mari et m’a fait me recentrer sur mon corps à moi.

En ce qui me concerne, l’effet du shiatsu est particulièrement remarquable sur les trapèzes et  le bas de la colonne  qui retrouvent de la souplesse.

J’apprécie aussi les pressions sur les bras, les épaules, les jambes et les étirements  qui génèrent  légèreté et relâchement.

Les pressions sur les organes internes sont en général nettement plus douloureuses mais  au bout du bout elles amènent elles aussi du relâchement.

Lors d’une séance je me sens vraiment  » ici et maintenant » – sensation que j’expérimente régulièrement avec le yoga ou la méditation – mais ce ressenti-là est différent car il implique un tiers – je ne sais malheureusement pas  comment  formuler plus précisément cette sensation importante.

En résumé, je pense que c’est votre pratique qui est particulièrement puissante – en effet je note que j’ai eu d’autres expériences avec des praticiens shiatsu qui étaient nettement moins remarquables. (parfois le protocole peut être vécu comme ennuyeux …)

A ce stade, je me dis qu’il faut que je prenne rv rapidement ! Mon budget ne me permet pas de venir vous voir aussi souvent que j’aimerais mais je vous recontacte en début d’année prochaine, promis.

Céline la quarantaine

Je suis venu au shiatsu en cherchant une aide naturelle, pour me rééquilibrer sur le conseil d’un collègue branché médecine chinoise, étant dans un état de « dépression ». Je ne sais pas si la pratique m’a étonnée puisque pas habituée à cette technique qui n’est pas un « massage » comme on aurait l’habitude. L’approche et la technique en elle-même m’ont apporté du confort, m’ont rassurée et fait prendre conscience des parties sensibles

ou douloureuses, l’idée est de s’être reliée au corps. Pour moi le shiatsu est une technique de détente, de rééquilibrage et de connexion à soi.

Je considère le shiatsu comme une discipline holistique utile à la bonne circulation sanguine et la gestion des douleurs lombaires et autres.

Toutes autres réflexions, pour moi c’est aussi un moment de ‘pause’ bienvenue dans ma vie professionnelle et personnelle exigeante.

Leila 48 ans, praticienne de Shiatsu

Bonjour Guy,
J’espère que je ne t’ennuierai pas avec ce message, mais je ressentais le besoin de partager « le fruit de ma
gestation« . (en pièce jointe). J’ai vraiment mis deux jours à « accoucher » de cette lettre et le mot gestation était très bien choisi.
Je ne le savais pas en repartant mais je dois avouer qu’avec le point final j’ai compris…..Je ne t’en dirai pas plus tout est dans la lettre.

Je n’ai pas beaucoup parlé pendant la séance c’était très confus ;  mais après coup je me dis qu’en fait je n’avais pas envie de déballer pour la nième fois ma vie car cela ne m’apporte plus rien. Je sais que maintenant je dois passer à l’action même si je suis morte de trouille (et c’est pas peu dire).
En tous les cas je n’ai qu’un mot à te dire MERCI très sincèrement pour avoir compris ce que je voulais, ça a été très dure certes je le savais et j’espérais ne pas repasser par là mais voilà…..

En fait tu vas rire (ou pas) je devais te dire pour cette séance qu’il fallait que tu y « mettes le paquet » pour que ça sorte et peu importe les conséquences….

Je n’ai pas eu besoin….vraiment j’aimerai bien ressentir aussi bien les choses un jour.
bises,
leila

Suivi de pages écrites à son père pour lui rendre la douleur et le mal qu’elle a subi de sa part (une enfance volée et violée par celui-ci durant 6 ans)

Catherine 55 ans

Ma première séance a duré quasiment deux heures, vu mon état d’épuisement!!

Le lendemain ou le surlendemain, je n’avais plus ce sentiment de « débordement » et j’avais repris le contrôle de ma vie.

J’ai fait plusieurs séances rapprochées pour stabiliser les choses. »

Puis, je suis retournée de loin en loin (pas assez souvent); toujours les mêmes bienfaits, sauf que j’étais moins épuisée à la base et les effets ont donc été moins spectaculaires. J’ai pu noter à quel point le shiatsu savait repérer « les nœuds  » que nous accumulons. Par ailleurs, au fil des années, j’ai évolué dans mon travail et dans ma vie et ai toujours été surprise de voir la capacité chez celui qui donne le massage shiatsu de décrypter, à travers le langage du corps, l’évolution psychique de la personne.

Pour moi, le shiatsu est une pratique ancienne qui relie le corps à l’esprit ; en dénouant les nœuds qui s’impriment dans votre corps, il vous aide à progresser dans votre vie et votre tête.

Comme d’autres pratiques, tel que le Yoga ou autre, le shiatsu nous aide à nous sentir bien dans notre corps et à favoriser la circulation d’énergie.

D’ailleurs, j’ai incité mon fils à reprendre contact avec vous. Je ne sais pas si vous faites toujours une formation pour apprendre les massages shiatsu; je pense, si tel est le cas, que cela pourrait l’intéresser.

Voilà en quelques mots ce que je peux dire.

Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me solliciter.

Bien cordialement

Catherine

Emmanuelle 49 ans

J’ai fait une séance de shiatsu à Kyoto lors d’un voyage au Japon, j’avais ressenti beaucoup de bienfaits, l’impression de quelque chose qui agissait en profondeur, plus durablement qu’un massage. Ayant pas mal de soucis digestifs, qui ne se résolvaient pas malgré un traitement par médicament et des séances d’acupuncture, j’ai décidé de trouver un praticien de shiatsu pour tenter quelque chose de « naturel » et de plus « tactile » que l’acupuncture, qui ne me convenait pas vraiment

J’ai donc entamé une pratique régulière. Ce qui est étonnant, c’est de constater à quel point, on a des points de tension sur lesquels la pression du shiatsu peut faire mal et en même temps faire du bien !!!! J’ai aussi constaté avec surprise qu’outre, les endroits classiques de tension que je sais repérer moi-même (épaules, ventre), il y a d’autres points sur tout le corps dont je ne soupçonnais pas l’existence et qui sont l’expression de tension d’organes à l’intérieur mon corps.   

Le résultat est l’impression d’être totalement détendue, « dénouée », remise sur pied, pas seulement dans les heures qui suivent mais les jours et semaines à venir; le sentiment d’une prise en charge globale du corps et de ses petits ou gros soucis et pas seulement d’une focalisation sur tel ou tel organe qui dysfonctionne.

Pour moi, le shiatsu, c’est un traitement préventif global qui empêche que tel ou tel problème de santé latent ou débutant ne dégénère. C’est une façon de prendre soin de mon corps, de lui accorder une heure de soin qui va se focaliser sur les points douloureux tout en traitant sa globalité. C’est aussi une façon de m’aider à lutter contre le stress

J’ajoute que tout cela fonctionne bien et est d’autant plus agréable que la relation avec le « praticien » est détendue et amicale. Pour moi, c’est important de ressentir de la bienveillance et d’être en confiance, ce qui permet de mieux lâcher prise et d’améliorer sans doute encore les bienfaits du shiatsu !!

Amicalement
Emmanuelle

 

Annick 65 ans

J’ai découvert le shiatsu après avoir été très malade, une succession de maladies graves et invalidantes apparues après des deuils en cascade. J’ai alors pris conscience que quelque chose n’allait pas dans ma façon de voir les choses.

J’ai toujours été très active et ai beaucoup foncé dans ma vie personnelle et professionnelle. Rien ne devait m’arrêter : « J’ai mal à la tête, je prends un comprimé et on en parle plus ». Je n’ai donc pas vraiment été à l’écoute de mon corps ni de moi-même.

A la suite de ce déferlement « de traumatismes » j’ai découvert le principe de la médecine chinoise qui s’intéresse plus à l’individu dans son ensemble « corps et esprit » et ai  pris conscience que  l’esprit et l’émotionnel pouvaient avoir une influence certaine sur le corps. J’ai commencé à faire des séances de shiatsu. J’en ai aimé le principe, j’ai constaté après chaque séance le bienfait et l’état de bien-être dans lequel j’étais.

Le shiatsu m’a apporté beaucoup de détente, d’amélioration progressive de mon état physique et psychique et un certain confort dans mes mouvements.

Je considère le shiatsu comme une alternative intéressante et efficace aux maladies chroniques comme peuvent être les douleurs articulaires et osseuses, les tensions musculaires, voire des pathologies plus profondes.

Voilà ce que je peux dire de mon expérience du shiatsu avec vous.

Annick.